Planter des arbres sur des terrains difficiles — avec moins de pertes et moins d’eau

02/02/2020 - 00:00

Découvrez Petr Kaisler, l’âme et les mains derrière LifeGarden, une entreprise tchèque d’aménagement paysager basée à Brno. Sa passion pour le végétal est immédiatement palpable, portée par des décennies d’expérience sur le terrain et un solide héritage familial en horticulture, transmis de génération en génération. Nous avons rencontré Petr, distributeur officiel de TerraCottem en République tchèque, pour en savoir plus sur son récent chantier le long de l’autoroute D1 — et sur la manière dont il utilise les technologies de conditionnement du sol pour relever les défis les plus exigeants.

Intervieweurs: Martin Vodak et Susana Vodak

Petr, parlez-nous un peu de LifeGarden. Comment l’aventure a-t-elle commencé ?

Le jardinage fait partie de ma vie depuis l’âge de 14 ans. C’est une véritable histoire de famille : mes grands-parents, mon oncle, ma tante… tous jardiniers. On peut vraiment parler d’une dynastie ! J’ai commencé chez Kaisler Ltd, mais avec le temps, mon frère, mon cousin et moi avons suivi chacun notre propre voie. Aujourd’hui, cela fait déjà dix ans que je dirige LifeGarden.

Avez-vous déjà envisagé de vous diversifier, de changer d’activité ou de développer votre entreprise ?

Honnêtement ? Non. Je pourrais, bien sûr, mais je n’en ai pas envie. Ce que nous avons fonctionne. Nous sommes une petite équipe soudée, cinq personnes seulement. Nous ne faisons même pas de publicité, et pourtant nous n’arrêtons jamais. J’aime ce rythme, cette simplicité.

Qu’est-ce qui vous passionne autant dans ce métier ?

Tout, vraiment. J’adore être jardinier. Chaque matin, je me lève avec l’envie de commencer ma journée. Ce n’est pas donné à tout le monde de pouvoir dire ça de son travail. Beaucoup de mes amis m’envient pour ça.

Récemment, votre équipe a travaillé sur un projet le long de l’autoroute D1, près de Brno. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Ce chantier s’inscrivait dans le cadre de l’élargissement de l’autoroute, passée de quatre à six voies, sous la supervision de la Direction des routes et autoroutes. L’entreprise générale, MI Roads a.s., nous a confié la mission de réaliser les plantations de remplacement. C’était un projet d’envergure.

Qui s’est chargé de la conception ?

C’est Ing. Hawerlandová. Elle a élaboré le plan de plantation.

En quoi consistait exactement la plantation ?

Nous avons planté 301 arbres de neuf espèces différentes. La majorité d’entre eux étaient des Acer campestre, communément appelés érables champêtres. Les arbres avaient un tronc d’une circonférence de 14 à 16 centimètres lorsqu’ils ont été plantés.

Il s’agit d’une entreprise de grande envergure. Des défis à relever ?

Enormément. Le plus gros problème était le terrain - des pentes abruptes sans accès pour les machines. Tout devait être fait à la main.

Nous étions également à la merci des conditions météorologiques ; parfois, nous devions attendre que le sol gèle ou sèche pour pouvoir nous rendre sur le site.

La proximité de la circulation ajoute au danger. Les autoroutes sont toujours délicates.

Mars 2025

Vous avez également utilisé TerraCottem dans ce projet. Pouvez-vous nous en dire un peu plus ?

Oui, TerraCottem faisait partie intégrante du plan initial. Nous avons appliqué 300 grammes par arbre, comme spécifié. C’est un produit que nous utilisons dans presque tous nos projets, car il a largement fait ses preuves.

Quel est l’avantage d’utiliser TerraCottem ?

Cela simplifie considérablement l’entretien. Les arbres s’enracinent mieux et nécessitent beaucoup moins d’arrosage.

"C’est un vrai soulagement, notamment pendant la période de garantie, car nous savons qu’ils ont toutes les chances de survivre et de bien se développer".

Je me souviens d’un chantier où nous avons planté dans du gravier presque pur — et un seul arbre n’a pas survécu. C’est dire l’efficacité de TerraCottem.

Vous l’utiliseriez donc même s’il n’est pas préconisé ?

Tout à fait. Nous avions l’habitude de mélanger l’hydrogel séparément, mais le TerraCottem est meilleur. Il combine la rétention d’eau, les nutriments et le soutien à l’enracinement en un seul produit.

Juin 2025

Combien de temps l’arrosage sera-t-il nécessaire pour ce projet ?

Selon le plan, nous prévoyons onze arrosages la première année, puis un arrosage par an de la deuxième à la quatrième année. Mais, en réalité, nous allons souvent au-delà. Nous sommes très rigoureux en matière de suivi et d’entretien, car nous savons que cela fait toute la différence.

Quel est, en général, le taux de survie de vos plantations ?

Il est excellent. Comme nous assurons un suivi rigoureux - surtout pendant les mois d’été, souvent très secs —, nous perdons rarement plus de deux arbres sur cent. Cette régularité est le fruit d’un entretien attentif et constant.

Recommanderiez-vous TerraCottem à d’autres professionnels ?

"Je le fais déjà ! Mais pour être honnête, la plupart des conducteurs de travaux et des jardiniers l’utilisent déjà. C’est devenu un outil standard dans notre boîte à outil".

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Aimeriez-vous aussi être sous les projecteurs ?

Vous pouvez !

Envoyez un courriel à marketing@terracottem.be et nous planifierons ensemble un entretien en ligne.

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